J’ai dit, dans l’Acte 1, que je n’avais plus quitté le peloton de tête de ma classe jusqu’en 1959… Pardon, j’ai menti… En effet, car à 17 ans, frustré par trois années d’internat, je voyais les externes et demi-pensionnaires sortir le soir, côtoyer les filles, aller au TNP, à l’Olympia ou au cinéma le jeudi, …